The Lorax
Pour
conquérir le cœur de sa jolie voisine, Audrey, Ted va s’échapper
de Thneedville, un monde totalement artificiel où toute végétation
a définitivement disparu, pour partir en quête d’un arbre vivant.
Ted va rencontrer le Gash-pilleur, un vieil ermite aigri reclus dans
sa cabane au milieu de nulle part, et découvrir la légende du
Lorax, cette créature aussi renfrognée que craquante qui vit dans
la magnifique vallée de Truffala et lutte avec ardeur pour la
protection de la nature. Avec l’aide de sa grand-mère, Mamie
Norma, Ted va devoir déjouer les pièges de O’Hare et ses sbires
pour rapporter à Audrey la dernière graine d’arbre vivant au
monde. Sans le savoir, le jeune garçon va transformer le destin de
Thneedville.
Après
un très prometteur Despicable Me et un trop décevant Hop, le jeune
studio Illumination renoue avec le succès. Publique et critique!
Gags en cascade, ironie délicieusement chantée, délectable
fantaisie sans retenue, The Lorax se permet même de distiller en
filigrane un message écologique des plus futés. Si on n’est
toujours pas convaincu par la forme graphique de l’ensemble (avec
des couleurs criardes et une animation bondissante) où aucune
recherche esthétique ne semble avoir été fournie, on salue par
contre la finesse du récit. Il faudra s’armer de patience pour
découvrir ce probe et libre Lorax, gardien de la forêt. Le poilu
aux impressionnantes bacchantes débarque dans nos salles obscures
qu’en… juillet! (vu en avant-première au mois d'avril au
Brussels International Fantastic Film Festival)
Note: ★★★
Critique:
Professeur Grant
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