Ice Age: Continental Drift

Manny, Diego et Sid se lancent dans un grand périple après qu'un cataclysme ait donné naissance à un continent en pleine dérive. Manny et sa bande vont devoir surmonter l'impossible, tout en rencontrant des créatures aquatiques, en explorant un nouveau monde et en combattant des pirates impitoyables. De son côté, Scrat a toujours affaire à son maudit gland et se retrouve catapulté dans un endroit où aucun écureuil préhistorique n'est jamais allé. 


Après un troisième épisode un poil décevant, ‘Ice Age’ fait son come back sur nos écrans. Cette nouvelle itération s’accompagne-t-elle d’un retour aux sources ou fait-elle pâle figure dans l’univers des films d’animation ?
Dès l’intro, le ton est donné et l’imagination débordante des auteurs est démontrée. Gage de cette imagination abondante est l’apparition de nouveaux personnages de second plan tous suffisamment travaillés.   
Là où bon nombre de suites commencent à sentir le réchauffé (‘Madagascar 3’, ‘Toy Story 3’, etc), ‘Ice Age : Continental Drift’ parvient à tirer son épingle du jeu en proposant un nombre incalculable de gags, sketchs et vannes en tout genre.    
Blue Sky Studios font jeu égal avec les meilleures productions Disney Pixar en termes d’animation et de rendu 3D. 
Le trio de tête (Sid, Diego, Manny) fonctionne toujours à merveilles. Quant à Scrat, il est le lien entre chaque événement majeur et constitue pour ainsi dire le ciment de la trame scénaristique. Scénario d’ailleurs bien ficelé, les quelques incohérences mises à part (Easter Bunny, la répartition des continents il y a 2 millions d’années ressemblant étrangement à celle d’aujourd’hui, etc).  
On retrouve une fois de plus, et pour notre plus grand plaisir, moult références cinématographiques (‘Braveheart’, ‘Star Wars’, ‘Pirates of the Caribbean’, etc).
Ice Age : Continental Drift’ est en définitive une bonne surprise. Cette suite attendue au tournant aurait pu être le faux pas de trop mais constitue au final la cerise sur le gâteau de la saga Scratienne ! 
A voir et revoir, avec sa copine, entre amis ou avec les enfants! 

Note : 
Critique : Goupil   

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